Actuellement, de plus en plus d’appareils mobiles : smartphones, tablettes, téléphones mobiles, etc. sont connectés sur Internet. Pour l’année 2013, les pirates vont décider de miser sur la qualité au détriment de la quantité selon les experts en sécurité informatique. Les entreprises utilisant ces appareils mobiles seront leurs premières cibles.
Menaces informatiques : les appareils et les services mobiles concernés
D’après les experts, les appareils mobiles ainsi que leur système d’exploitation seront les principales cibles des pirates informatiques en 2013 car jusqu’à maintenant, leur sécurité n’est pas encore au cœur de la préoccupation des éditeurs de logiciels de sécurité. Cet engouement des personnes malveillantes vient de la hausse de l’utilisation des téléphones mobiles dans le milieu professionnel. Ils ont pris la place des traditionnels PC dans certaines entreprises. En outre, les pirates utilisent actuellement un service smtp authentique pour mener leurs cyber-attaques afin de tromper la vigilance des internautes.
Le cloud computing ainsi que le smtp mail seront également concernés par les menaces informatiques en 2013. Pour le premier, le risque pourrait émaner de l’authentification de l’internaute par un mot de passe unique. Une double authentification permettra aux utilisateurs du cloud de mieux sécuriser leurs données. Pour le second, les craintes proviennent du hameçonnage lié au spam. Seule l’analyse serveur émetteur permettra de détecter les sites factices des noms de domaine authentiques.
Les spams SMS et vocal
Les spams sms et vocal sont des pratiques de plus en plus utilisées par les pirates. Ils consistent à envoyer des messages ou à appeler le numéro de téléphone d’une personne et de raccrocher avant que celle-ci décroche. L’objectif des pirates serait que le propriétaire de la ligne rappelle le numéro surtaxé utilisé et de payer un coût forfaitaire en plus du tarif par minute, ce sans que l’appel n’aboutisse. Actuellement, les personnes victimes de ces malveillances pourraient dénoncer la fraude en utilisant le dispositif 33 700 mis en place depuis 2010.
Leave a Comment